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Un Drôle de problème

De quoi ça parle ?

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Justine se sent vraiment nulle en Maths : elle rate toujours  toutes les évaluations. Mais Flouche refuse absolument que son amie se sente "nulle" ! Elle doit trouver une solution, avec l'aide de Marie et de Victor. Le temps presse, car les parents de Justine menacent de la priver de danse si ses résultats ne s'améliorent pas... Les idées ne manquent pas. Mais est-ce que ce sont vraiment de "bonnes idées" ?

Le jeu des différences

Décider quelle sera la couverture d'un livre, ce n'est pas une mince affaire ! Doit-elle garder une part de mystère ou dévoiler le contenu du roman ? Quels personnages doit-elle montrer ? Quelle pourrait-être la couleur dominante ? L'illustratrice fait plusieurs propositions, l'auteure donne son avis, l'éditrice tranche.

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Proposition 1

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Proposition 2

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Proposition 3

Petit jeu des différences : voici les trois couvertures proposées par Morgane.

Le choix du titre

Voilà un titre qui m'a donné bien du fil à retordre. Lorsque j'ai commencé à écrire cette histoire, je l'avais intitulée : Justine est nulle en math. Mais Caroline Triaureau, mon éditrice, ne souhaitait pas publier un texte pour enfant contenant les mots MATH et NUL. Elle disait que ça éloignerait les lecteurs et elle avait raison ! Alors j'ai proposé : Justine a un problème, puis le problème de Justine... Mais on sentait bien que ça n'allait pas. Il nous fallait un titre plus léger, moins sérieux et un peu mystérieux. Nous étions au téléphone, Morgane, Caroline et moi à nous fouiller les méninges pour trouver la bonne formulation quand soudain nous avons eu cet éclair : Un drôle de problème ! C'était exactement ce qu'il nous fallait... Ouf !

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Une dédicace : pour qui ? Pour quoi ? 

J'ai voulu dédier ce petit roman à Isabelle, qui n'est pas une enfant de l'âge de Flouche, mais mon amie depuis plus de vingt ans. Pourquoi elle ? Parce que le mot DYSCALCULIQUE qui est au centre de cette histoire, c'est dans sa bouche que je l'ai entendu pour la première fois. On avait l'habitude, elle et moi, de se rappeler en riant les "bourdes" mathématiques qui avaient jalonné toute notre scoalrité : on cherchait laquelle de nous deux était la plus nulle. Et puis un beau jour, la voilà qui me dit en soupirant : "Si on avait détecté ma dyscalculie, je n'en aurais pas tant souffert ! ". Je croyais qu’elle avait inventé ce mot et qu’elle plaisantait encore mais non : j'ai découvert ce jour-là la douloureuse situation des enfants qui ne peuvent pas manipuler les chiffres. Il fallait bien que j'écrive un texte à ce propos. 

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